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Photo: Juliette Agnel

CAMILLE GOUJON

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Née en 1977 en France. Vit et travaille à Marseille. 

 

En 2004, pour sa dernière année aux Beaux-Arts de Paris et dans le cadre d’un échange scolaire avec l’école Art center college de Los Angeles, Camille Goujon réalise un travail de recherche sur l’histoire de l’eau à L.A. où elle développe un intérêt pour son industrialisation.

Poursuivant sur ce sujet, elle se rend en Russie et met en parallèle les faits découverts en Amérique avec un mythe de l’imaginaire collectif Russe, accusant les Américains d’avoir volé l’eau de leur lac, qui donnera lieu au court-métrage : My name is Dusty (2008).

Traitant des problématiques écologiques, elle a participé à plusieurs résidences notamment sur l’île d'Ouessant en France, aux États-Unis et au Japon. 

En se jouant de la notion de Terre-Mère, elle conçoit des œuvres qui oscillent entre corps et environnement. Au-delà des installations, des sculptures et des dessins, elle consacre une part importante de sa pratique au film d’animation. Ses films envisagent la transformation du paysage, en apportant un regard critique sur la société contemporaine.  

Lilipute, 2011, Polystyrène, résine, gel coat teinté, machine à fumée, lampadaire électrique, éléments de maquette, 150 x 120 x 80 cm environ. Photo courtesy Galerie Bendana-Pinel

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La bûcheronne, 2017, Sculpture en mousse P.U, Résine Acrylique, peinture, éléments divers, 170 x 80 x 40 cm environ. Photo courtesy Camille Goujon.

Musée anté-archéologique (détail), 1999-2021, 12 cadres 40 x 50 cm, Collection environ de 120 cartes postales de barrages hydrauliques et centrales nucléaires. Vitrines avec objets publicitaires et touristiques. Collection de l’artiste (work in progress). Photo courtesy Camille Goujon. Musée anté-archéologique (détail, Centrale nucléaire RSA), 1999-2021,Photo courtesy Camille Goujon.

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